📌 L’historire :🗞️ Enquête exclusive : le jour où un singe a mis K.O. le monde de l’édition
Tokyo, 20 novembre 1984. L’industrie du manga est sur le point de subir un choc énergétique. Un jeune dessinateur du nom d’Akira Toriyama libère dans les pages du Weekly Shōnen Jump un Kamehameha narratif de 18 pages : Dragon Ball.
L’effet est immédiat : les lecteurs, frappés en pleine rétine par un enfant nu sur un nuage volant, entrent dans un état de fascination irrémédiable. Selon les scientifiques de Capsule Corp, cet état est appelé le « syndrome de la boule de cristal ». Les symptômes ? Pleurs au générique de fin, collections de figurines, et discussions interminables sur qui est plus fort entre Goku et Vegeta (spoiler : c’est Piccolo, on ne discute pas).
« On savait qu’on tenait un truc, mais pas à ce point », confie Shenron, dragon céleste reconverti en attaché de presse.
📉 Les 7 raisons pour lesquelles Dragon Ball a détruit votre productivité au bureau
| Raison | Impact |
|---|
| 📺 Rediffusions à 18h | Retards chroniques |
| 🌀 Tentative de faire des Kaméhaméha IRL | Troubles musculo-squelettiques |
| 🍙 Imitation des repas de Goku | Augmentation des dépenses en riz |
| 🐉 Recherche des Dragon Balls | Absences injustifiées |
| 💬 Discussions à la machine à café sur Freezer | Ralentissement de la chaîne de mails |
| 🎮 Tournois de Budokai Tenkaichi à la pause déj | Disparition des stylos |
| 🧠 Lecture de fanfics sur Trunks | Burn-out scénaristique |
🤯 Dragon Ball, ce n’est pas qu’un manga, c’est un mythe fondateur
Au commencement, il y avait Son Goku, mi-garçon, mi-singe, 100 % hyperactif. Ajoutez une aventurière légèrement perverse (Bulma), un cochon transformiste, une tortue lubrique, des robots géants, un extraterrestre nazi, une armée en débardeur, et un Namek philosophe… Vous obtenez le cocktail le plus WTF depuis l’invention du mojito à la Red Bull.
« Mon fils s’appelle Gohan et ma fille s’appelle Videl. On assume », témoigne un parent fan, en PLS devant un épisode de Dragon Ball GT.
🎮 Influence : sans Dragon Ball, pas de Naruto, pas de Luffy, pas de TikTokers qui crient “Ultra Instinct !” dans le métro
Dragon Ball a tout inventé : les cheveux qui changent de couleur selon le stress, les cris de 17 minutes pour charger une attaque, et les ennemis qui deviennent potes après t’avoir tenté un génocide.
On notera que le concept du “power-up” a été largement repris par les start-ups : « Ici chez NotionStart, on passe en mode Super Saiyan dès qu’on a trois cafés », nous confie un CEO avec des chaussettes orange.
📌 L’histoire vraie : – Traitement réaliste
🎌 Une œuvre fondatrice du manga moderne
Le 20 novembre 1984 marque la première publication de Dragon Ball dans le magazine Weekly Shōnen Jump. Créé par Akira Toriyama, déjà célèbre pour Dr. Slump, le manga s’inspire librement du roman chinois La Pérégrination vers l’Ouest, tout en y injectant humour, arts martiaux, et science-fiction.
🌍 Un phénomène mondial
Avec plus de 260 millions d’exemplaires vendus, Dragon Ball est l’un des mangas les plus lus au monde. Son adaptation animée dès 1986, puis ses suites (Z, GT, Super) ont marqué plusieurs générations de fans.
Outre l’impact culturel (goodies, cosplay, jeux vidéo, etc.), Dragon Ball a influencé de nombreux auteurs de shōnens comme Masashi Kishimoto (Naruto) ou Eiichiro Oda (One Piece). Il est également un vecteur important de la mondialisation du manga dans les années 90 et 2000, grâce à sa diffusion sur les chaînes comme Club Dorothée en France.
📚 Un style et une narration révolutionnaires
Akira Toriyama a introduit un style graphique dynamique, des combats épiques rythmés par la montée en puissance (le fameux power scaling) et des personnages charismatiques. Le mélange entre humour burlesque et tension dramatique a séduit un public très large.