📌 L’historire : 📰 25 septembre 1792 : La République s’annonce « une et indivisible », quand la royauté, elle, part en pièces détachées
La République lance son offre sans option
Le 25 septembre 1792, les députés de la Convention balancent au peuple : « La République sera une et indivisible ».
Traduction : fini les packs VIP avec carrosse climatisé, valet 24/7 et trône en promo.
Louis XVI, lui, aurait préféré un abonnement « indivisible » pour sa propre nuque. Mais à l’époque, la guillotine offrait un forfait tout compris : coupe brushing + rupture définitive.
Quand les slogans changent de camp
Comparons les stratégies marketing de l’époque :
- Rois : « Moi d’abord, vous ensuite (si y’a du budget) ».
- République : « Tout le monde pareil, sauf les têtes qui dépassent ».
Un Montagnard aurait lâché :
« Indivisible, ça veut dire qu’on ne coupe pas… sauf les aristocrates, bien sûr. »
Puzzle royal : édition sanglante
La République se voulait insécable, mais les rois, eux, devenaient littéralement démontables.
En 1792, ça riait jaune dans les tribunes : pas de stories Insta pour immortaliser l’instant, juste des spectateurs qui criaient « PTDR » avant même que ça existe.
Version Twitter de l’époque :
📱 « La République indivisible, Louis XVI divisible par deux. #GuillotineMood #1792 »
Petit tableau comparatif (parce qu’on adore ça)
| Régime | Avantage supposé | Résultat réel |
|---|
| Monarchie | Un roi, une couronne | Une tête en moins |
| République | Unité nationale | Beaucoup de séparations… au niveau cervical |
| Aujourd’hui | Un président + réseaux sociaux | Trending topic « #Démission » |
📌 L’histoire vraie : – Version historique sérieuse
Le 25 septembre 1792, la Convention nationale proclama officiellement la République française « une et indivisible ».
Cet acte fondateur avait pour objectif de préserver l’unité nationale face aux menaces intérieures (conflits entre Girondins et Montagnards, résistances royalistes) et aux menaces extérieures (les monarchies d’Europe coalisées contre la France).
Cette proclamation marque une rupture nette avec la royauté : au pouvoir personnel du roi succède une République centralisée, refusant toute idée de morcellement territorial ou de fédéralisme.
Peu avant, la monarchie avait déjà été suspendue après la prise des Tuileries (10 août 1792). Louis XVI sera jugé, puis exécuté en janvier 1793, scellant définitivement la fin de l’Ancien Régime.