L’Histo-rire :💩 30 avril 1945 : Le plus gros caca de l’Histoire enfin évacué
Adolf Hitler : 56 ans, constipé de haine
Berlin, 1945. Fin de partie pour le Troisième Reich. Tandis que les Alliés écrasent le nazisme à coups de bottes et de bombes, un événement gastro-historique passe inaperçu : le plus long étron idéologique de l’histoire moderne est enfin expulsé.
Son nom : Adolf Hitler.
Sa forme : un caca en spirale.
Son odeur : pestilentielle depuis Mein Kampf.
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L’histoire vraie :
Le 30 avril 1945, Adolf Hitler se donne la mort dans son bunker de la chancellerie, à Berlin, alors que la ville est en ruines et que les troupes soviétiques ne sont plus qu’à quelques centaines de mètres. Ce geste met un terme à l’un des chapitres les plus sombres de l’histoire contemporaine : celui du régime nazi.
Le contexte immédiat de la chute
À la fin d’avril 1945, la situation militaire du Troisième Reich est désespérée. L’Allemagne nazie, acculée sur tous les fronts, voit Berlin assiégée par les Soviétiques dans le cadre de l’opération offensive de Berlin, déclenchée le 16 avril. Les combats font rage jusque dans les rues de la capitale, et les principales figures du régime se retranchent dans le Führerbunker, un abri souterrain situé sous la chancellerie du Reich.
C’est dans ce contexte d’effondrement généralisé que Hitler, retranché avec quelques proches collaborateurs, refuse obstinément de quitter Berlin, malgré les propositions d’évacuation. Il continue à donner des ordres irréalistes, convaincu d’un retournement de situation militaire miraculeux.
Un suicide planifié
Le 29 avril, Adolf Hitler épouse Eva Braun lors d’une brève cérémonie civile dans le bunker. Peu après, il dicte son testament politique à son secrétaire Martin Bormann. Dans ce document, il affirme son souhait de mourir à Berlin et ordonne que son corps soit brûlé pour ne pas être exposé ou capturé.
Le lendemain, le 30 avril 1945, aux alentours de 15h30, Hitler se suicide d’une balle dans la tête, tandis qu’Eva Braun absorbe une capsule de cyanure. Leurs corps sont retrouvés par leurs aides de camp, enveloppés dans une couverture, puis transportés dans le jardin de la chancellerie, où ils sont aspergés d’essence et brûlés selon ses instructions.
Une mort confirmée, malgré les théories
Pendant des décennies, la mort d’Hitler a fait l’objet de rumeurs, notamment à cause du secret entretenu par les Soviétiques, qui furent les premiers à pénétrer dans le bunker. Joseph Staline lui-même a longtemps laissé entendre qu’Hitler aurait pu s’échapper, entretenant ainsi des théories conspirationnistes selon lesquelles il aurait fui en Argentine ou ailleurs.
Cependant, les enquêtes historiques menées à partir des années 1950, notamment par l’historien britannique Hugh Trevor-Roper puis d’autres chercheurs après la chute de l’URSS, ont confirmé la version du suicide, corroborée par de nombreux témoignages de proches présents dans le bunker (comme Otto Günsche ou Traudl Junge), ainsi que par des éléments médico-légaux soviétiques déclassifiés.
La portée symbolique de cette mort
Le suicide de Hitler représente bien plus qu’un simple acte personnel : il incarne l’effondrement du nazisme dans son ensemble. En refusant de se rendre, Hitler cherche à éviter la reddition, et surtout, l’humiliation de répondre de ses actes devant une juridiction internationale. Il souhaite disparaître de la scène de l’Histoire comme il y est apparu : de manière brutale et absolue.
Moins de dix jours après sa mort, le 8 mai 1945, l’Allemagne capitule sans conditions. Ce moment marque la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe. Le régime nazi, responsable de plus de 50 millions de morts dans le conflit et du génocide de six millions de Juifs, est officiellement abattu.