📌 L’historire :📰 23 Novembre 1963 : JFK enterré à peine refroidi – l’Amérique invente le “drive-in funéraire”
Un enterrement express digne d’un service Amazon Prime
À peine le dernier coup de feu tiré à Dallas que déjà, John Fitzgerald Kennedy reposait dans un cercueil flambant neuf garé devant la Maison Blanche, pare-chocs contre parterre de roses. “On voulait faire vite. Pas question de rester bloqué dans les embouteillages administratifs du deuil”, aurait déclaré un membre du protocole, visiblement en burnout depuis la Baie des Cochons.
À 13h26 le 22 novembre, JFK est assassiné. À 9h le 23, son cercueil est exposé. À 9h02, le traiteur arrive. À 9h03, un corbillard-buggy tourne déjà autour de la pelouse. La rapidité a pris tout le monde de court, y compris la famille Kennedy, qui découvre le cercueil… via une story Instagram de la Maison Blanche (“RIP JF❤K #GoneTooFast”).
“C’est allé si vite qu’on a d’abord cru à une pub pour des places de concert”
— Lyndon B. Johnson, en testant son nouveau costume de président sur cadavre encore tiède.
⚰️ Un hommage présidentiel façon foire d’empoigne
La voiture décapotable de Dallas, truffée de balles et de cacahuètes souvenir, a été stationnée telle quelle devant la Maison Blanche, “pour l’effet dramatique”, selon le conseiller artistique de l’événement. 132 balles ont été retrouvées, ce qui relance la théorie du complot mais surtout la théorie de la mitraille gratuite.
Des centaines de chefs d’État sont venus rendre hommage, certains avec des fleurs, d’autres avec des coupons McDo (valables uniquement au Texas). L’ambassadeur soviétique a même tenté une danse de la paix, interrompue par un jet de tarte à la crème de Nikita Khrouchtchev. Ce dernier, hilare, aurait lancé :
“Si on peut pas rigoler à un enterrement, quand alors ?”
🧠 Un programme digne d’un épisode de Kaamelott – version dark
- 8h00 : arrivée des invités, test PCR, vérification des armes
- 8h15 : minute de silence, écourtée pour cause de café froid
- 8h45 : discours de Johnson (“J’ai un rêve… ah non, mince, c’est pas moi”)
- 9h00 : projection du film de Zapruder en slow motion, avec analyse par Michel Cymès
- 9h30 : brunch démocratique (avec options végétariennes et sans gluten)
- 10h00 : “le cercueil challenge” sur TikTok avec @Jackie_K – 12 millions de vues
🧂 Le complot selon Mamie : “JFK a été abattu par le mauvais goût”
Le vrai drame, selon certains observateurs, n’est pas tant l’assassinat que l’ambiance générale de la cérémonie. “On aurait dit un remake de La Famille Addams sponsorisé par Disneyland”, souffle un agent secret resté traumatisé par les chorégraphies du boys band militaire “Les M16 Boys”.
La mère de JFK aurait déclaré :
“Jack n’aurait jamais voulu ça. Il préférait les garden-parties et les baignades au champagne. Là, on a l’impression qu’il a été enterré par une boîte de production Netflix low-cost.”
🤖 Quand même ChatGPT se dit “trop tôt”
Interrogé par la CIA, un prototype d’intelligence artificielle a refusé de commenter l’organisation de l’événement, en précisant :
“Même l’humour noir a des limites, les gars. Là, vous êtes à deux doigts d’inventer le ‘cercueil en drive’.”
Trop tard, c’est déjà breveté par McFuneral™.
📌 L’histoire vraie : – Traitement réaliste
🔍 L’assassinat de JFK et ses suites immédiates
Le 22 novembre 1963, le président américain John F. Kennedy est assassiné à Dallas, Texas, alors qu’il circule en cortège dans une voiture décapotable. Il est touché par des tirs d’arme à feu, officiellement perpétrés par Lee Harvey Oswald depuis le sixième étage du dépôt de livres scolaires du Texas.
Kennedy meurt quelques minutes plus tard à l’hôpital Parkland. Le lendemain, le 23 novembre, son corps est rapatrié à Washington D.C., et des préparatifs immédiats sont lancés pour organiser des funérailles nationales.
Les obsèques ont officiellement eu lieu le 25 novembre 1963. Elles ont été suivies par des millions d’Américains à la télévision, et ont rassemblé des chefs d’État du monde entier, dont Charles de Gaulle, Haïlé Sélassié ou encore le prince Philip.
Cet événement a profondément marqué la mémoire collective et l’histoire contemporaine, alimentant encore aujourd’hui de nombreuses théories du complot et études historiques.