📌 L’historire :🧨 Le jour où Fidel a failli allumer le monde comme un Cohiba géant
La Havane, 20 novembre 1962.
Il est 17h12, heure locale. Fidel Castro, accoudé à son rocking chair en rotin tressé, un cigare de la taille d’un missile entre les dents, soupire :
« Bon… on va peut-être pas finir en barbecue nucléaire cette semaine. »
Et voilà comment, après un mois de tensions planétaires, de regards qui tuent entre Kennedy et Khrouchtchev, et de sueurs froides dans les slips soviétiques, la fameuse crise des missiles de Cuba s’achève dans une odeur de tabac froid et de rhum éventé.
☢️ Le point de rupture : un mojito mal dosé
Tout avait pourtant bien commencé : l’URSS, toujours fan de camping géopolitique, décide en octobre 1962 de poser quelques « tentes nucléaires » à 150 km de Miami. Histoire de voir les dauphins floridiens de plus près.
Mais John F. Kennedy, fraîchement peigné et très peu fan de cette colocation explosive, réagit comme tout bon Américain face à une menace : il fait un blocus naval. Ou, comme dirait Jean-Michel à peu près, « il met des gros bateaux autour d’un petit caillou avec des mecs qui dansent la salsa ».
🚬 La Havane s’enflamme, le monde retient son souffle
Pendant 13 jours, la planète entière vit sous tension.
Entre deux concerts de bongo et une diffusion de Caméra Café version soviétique, les Cubains assistent à des survols de l’US Air Force en mode « Top Gun latino ».
Un vieux pêcheur cubain, interrogé par Radio Mojito :
« J’ai vu un missile voler au-dessus de ma barque. J’ai crié « Olé », je croyais que c’était un feu d’artifice. »
Les États-Unis, eux, préparent déjà des bunkers sous les drive-ins et les McDonald’s. Quant aux Russes, ils ressortent leurs bottes en poil de yack pour la Troisième Guerre mondiale.
🎭 La négociation de la dernière chance : salsa diplomatique
Finalement, sous la pression des Beatles (qui n’ont encore rien sorti, mais qui commencent à influencer les ondes mentales), les dirigeants acceptent de calmer le jeu.
Deal final :
- Les Soviétiques retirent leurs missiles de Cuba.
- Les Américains promettent de ne plus tenter d’assassiner Castro avec des dentifrices explosifs ou des cigares piégés.
- Cuba garde ses cigares mais doit promettre de ne pas les envoyer en orbite.
« Ce jour-là, l’humanité a évité de finir en toast », commente aujourd’hui un expert en géopolitique et en tapas.
🌍 Le monde respire, sauf la Havane (pollution par cigare)
20 novembre 1962 : fin officielle de la crise. L’ONU souffle. Castro tire une latte. Kennedy va au golf. Khrouchtchev danse un kazatchok en slip dans son bureau.
Le tout résumé dans un mémorable article du New York Mojito Times :
📰 « From cigars to stars: how a Caribbean island almost nuked us all, but didn’t. »
📌 L’histoire vraie : – Traitement réaliste et informatif
La crise des missiles de Cuba : un affrontement nucléaire évité de justesse
Contexte historique :
En octobre 1962, les États-Unis découvrent grâce à des photos aériennes que l’URSS installe des missiles nucléaires à Cuba. Cela constitue une menace directe, car ces armes pourraient frapper le territoire américain en quelques minutes.
Déroulement :
- Le 22 octobre, Kennedy annonce un blocus naval de Cuba.
- Pendant 13 jours, les deux puissances sont au bord de l’affrontement nucléaire.
- Des négociations secrètes s’intensifient entre les États-Unis et l’URSS.
Résolution :
- Le 28 octobre 1962, Khrouchtchev accepte de retirer les missiles de Cuba.
- En échange, les États-Unis s’engagent (en secret) à retirer leurs missiles en Turquie et à ne pas envahir Cuba.
Conséquences :
- La crise marque un tournant dans la guerre froide.
- Elle mène à l’établissement d’un « téléphone rouge » entre Moscou et Washington pour éviter de futurs malentendus.
- Elle souligne l’importance des mécanismes de désescalade diplomatique.
Le 20 novembre 1962, le blocus américain est officiellement levé, marquant la fin de cette crise.