📌 L’historire :🪦 10 octobre 1963 : Edith Piaf tire sa révérence, les bouteilles tirent un trait
🍾 Edith Piaf : « Je me fiche du passé, mais laissez-moi finir mon verre »
Paris, octobre 1963 – La voix la plus éraillée du patrimoine musical français s’éteint, et avec elle, une bonne partie des stocks de pinard de la rive gauche. Edith Piaf, icône nationale et fêtarde légendaire, rejoint les étoiles – et probablement leur bar à volonté.
Sa disparition, annoncée dans la matinée par une voix off alcoolisée sur Radio Nostalgie+, a plongé la France dans un deuil teinté de Beaujolais. Des témoins évoquent une cérémonie « chargée en émotion et en tanins ».
« Elle chantait avec le foie, pas avec le cœur », résume un vigneron anonyme du Languedoc.
⚱️ Une sépulture sponsorisée par les vignes du Seigneur
Enterrée selon ses dernières volontés « avec ce que j’aime le plus après les refrains et les regrets », Piaf a été descendue dans un caveau recouvert de flacons vides. Le plan de table posthume s’apparente à un inventaire de fin de banquet :
| Spiritueux d’époque | Nombre approximatif |
|---|
| Bordeaux grand cru | 19 bouteilles |
| Armagnac de contrebande | 7 flasques |
| Liqueur oubliée dans un placard | 3 bidons |
| Sirop de groseille frelaté | 1 (pour la blague) |
Les pompes funèbres auraient été contraintes d’ajouter une clause au contrat : « Risque d’ébriété post-mortem non couvert par l’assurance obsèques. »
🎶 « La Vie en cirrhose » : un chef-d’œuvre (de contrefaçon)
Quelques heures après l’annonce du décès, une version très libre de son tube iconique circule sous le titre « La Vie en cirrhose », remixée par DJ Tonton Rémy. L’instrumental serait intégralement réalisé à base de cliquetis de verres à ballon et de toux rauques.
« Quand il me remplit le godet, je vois la vie floue / Je tangue, je rote, je glousse, et j’veux plus descendre de mon tabouret… »
Le titre grimpe en flèche sur Top Vinyles 1963, relançant l’intérêt pour les funérailles karaoké.
🥴 Piaf, la muse des excès avant les excès de muse
Bien avant les dérives tragiques d’Amy Winehouse ou le spleen branché de Pete Doherty, Edith Piaf incarnait déjà le combo gagnant : voix céleste, vie foutue.
Une hypothèse persiste chez certains fans : Piaf ne serait pas morte, elle se serait évangélique transformée en cubi de rosé, hantant les terrasses de Montmartre.
Son dernier mot serait, selon un témoin flou :
« Mettez-moi au frais, je reviens pour l’apéro éternel. »
📌 L’histoire vraie : – Le fond vrai sous les bulles
Édith Piaf est morte le 10 octobre 1963, officiellement d’une hémorragie interne provoquée par des années de traitements médicaux lourds, d’alcoolisme et de douleurs chroniques. Elle avait 47 ans.
Artiste autodidacte, née en 1915 à Paris, Piaf a connu la misère, les tragédies familiales, la rue, avant d’être révélée par le cabaretier Louis Leplée. Elle devient ensuite une immense star, grâce à des titres poignants comme Non, je ne regrette rien, L’Hymne à l’amour, Milord ou Padam Padam.
La chanteuse a connu une vie sentimentale mouvementée et douloureuse, notamment avec Marcel Cerdan, son grand amour, disparu dans un crash d’avion. À la fin de sa vie, épuisée physiquement et affaiblie, elle se retire à Grasse où elle meurt.
Elle est enterrée au cimetière du Père-Lachaise, aux côtés de nombreux artistes. Sa tombe reste aujourd’hui un lieu de pèlerinage pour les amoureux de la chanson française.