📌 L’historire :🚀 1er octobre 1969 : Le Concorde brise le mur du son, bien avant de s’encastrer dans celui d’un hôtel trois étoiles
🅐 PARTIE A – Version humoristique parodique
Quand l’ingénierie tutoie les étoiles, puis se prend un mur.
🧨 Fracas supersonique dans les cieux : un bang, un mythe, une clope
Ce jour-là, dans un ciel aussi bleu que la fiche technique du Mirage 2000, le Concorde pète un câble et franchit Mach 1. Le bruit assourdit trois mouettes, huit retraités en camping-car et un petit garçon nommé Édouard Philippe.
“On a entendu un gros boum, on a cru que c’était le four de mamie.”
— Témoignage anonyme, quelque part dans les Landes.
L’avion franco-britannique fonce à la vitesse du livreur Uber Eats un soir de match, avec des pointes au-dessus de 2 180 km/h. Une prouesse saluée à l’époque par l’ensemble du corps aéronautique, et par une vieille dame qui pensait que c’était “un oiseau qui avait trop mangé de vent”.
🧱 De la stratosphère à la façade d’un hôtel de banlieue
Mais la vraie chute de l’histoire — littéralement — aura lieu 31 ans plus tard, lorsqu’un Concorde s’emmêle les moteurs et termine sa course sur l’hôtel Les Relais Bleus à Gonesse. Triste épilogue pour ce bijou de technologie qui avait tout pour plaire, sauf un plan de vol vers un mur.
Un bête éclat de métal tombé d’un autre avion va provoquer un effet domino : pneu crevé, carburant en feu, décrochage, et… impact. Le Concorde aura donc explosé toutes les limites : vitesse, prestige, et un mur porteur.
“On voulait toucher les étoiles, on a frôlé la salle de petit-déjeuner.”
— Gérard, philosophe en tongs au buffet du matin.
📸 Détournement de patrimoine
Depuis, des sites humoristiques réclament le classement du mur des Relais Bleus comme monument historique. Une pétition circule sur Change.org sous le nom :
“Mur du son, mur de béton, même combat.”
TikTok n’est pas en reste : des comptes comme @ConcordeIRL proposent des reconstitutions en pâte à modeler, et un filtre “bang supersonique” fait fureur pendant les lives gênants.
🎟️ Le Concorde, rêve d’architectes, cauchemar de carrossiers
Le Concorde reste un symbole ambigu : prouesse aérienne d’un côté, tragédie technologique de l’autre. Il est à l’aviation ce que Jean-Claude Van Damme est à la philosophie : parfois brillant, souvent déroutant, toujours spectaculaire.
“Le Concorde, c’est un peu comme un premier amour : tu l’idéalises, tu le défends… puis un jour tu le vois flamber en plein ciel.”
— Karine, ancienne hôtesse de l’air devenue astrologue.
📌 L’histoire vraie : – Traitement factuel et informatif
Le 1er octobre 1969, le prototype franco-britannique Concorde franchit pour la première fois le mur du son, soit une vitesse supérieure à Mach 1. Cette étape marque une avancée majeure dans l’histoire de l’aviation commerciale.
Capable d’atteindre jusqu’à Mach 2,04, soit plus de 2 180 km/h, le Concorde promettait de relier Paris à New York en 3h30. Cependant, son exploitation restera marginale à cause de coûts très élevés, d’un bruit important, et d’un marché trop restreint. Il sera retiré du service en 2003.
Le drame du vol AF4590
Le 25 juillet 2000, un Concorde d’Air France, en décollage à Roissy, subit une série de défaillances après qu’une lamelle métallique tombée d’un autre avion perce un pneu. Un réservoir est endommagé, provoquant un incendie moteur. L’appareil s’écrase moins de deux minutes plus tard sur un hôtel à Gonesse, causant la mort de 113 personnes.
Ce drame affecte profondément l’image du Concorde et accélère son retrait.